Dans le cadre de la réforme des collectivités locales voulue par les Pouvoirs Publics, le Préfet a proposé la création d’une nouvelle communauté de communes, issue des communautés “Coutach-Vidourle”, “Autour de Lédignan” et “Cévennes-Garrigues”.
La majorité des communes concernées ayant approuvé ce projet, le Préfet a pris un arrêté de création d’une nouvelle communauté de Communes dont le nom est “Communauté de Communes du Piémont Cévenol”. Elle est opérationnelle depuis le 1er janvier 2013.

Elle est constituée des communes suivantes:

  1. toutes les communes de “Coutach-Vidourle” à l’exeption de Cannes et Clairan qui rejoint la communauté de Communes de Sommières, soit les communes de Bragassargues, Brouzet les Quissac, Carnas, Corconne, Gailhan, Liouc, Logrian, Orthoux-Sérignac, Puechredon, Quissac, St Jean de Crieulon, St Nazaire des Gardies, St Théodorit, Sardan, Sauve, Vic le Fesq
  2. Les communes suivantes de “Autour de Lédignan”: Aigremont, Canaules et Argentières, Cassagnoles, Lédignan, Maruejols les Gardons, Saint Bénézet, Savignargues
  3. les communes suivantes de “Cévennes-Garrigues”: La Cadières et Cambo, Colognac, Conqueyrac, Cros, Fressac, Monoblet, Pompignan, St Félix de Pallières, St Hippolyte du Fort,
  4. la commune de Cardet.

Soit au total 34 communes représentant un peu plus de 20 000 habitants. Vous pouvez visualiser ce périmètre ci-dessous.

Son siège est celui de l’ancienne communauté Coutache-Vidourle, rue du docteur Rocheblave à QUISSAC.

Rappelons que la communauté Coutach-Vidourle regroupait 17 communes pour environ 9 000 habitants. Le changement est donc d’importance…

Dès le mois de janvier 2013 la nouvelle organisation s’est mise en place en place : élections du président, des vice présidents, constitution des commissions de travail correspondant aux diverses compétences, etc.

Sur certains aspects, la nouvelle communauté pourra certes bénéficier d’un effet de taille, mais il ne faut pas se cacher que la nouvelle organisation sera plus lourde et plus éloignée des administrés.

Suite aux futures élections municipales de 2014, notre communes comme toutes celles de moins de 500 habitants ne seront plus représentées que par un délégué titulaire et un suppléant. Comment ces délégués arriveront-ils à participer sérieusement au travail de la douzaine de commissions de travail ?